vendredi 24 mai 2013

Le SILICIUM ORGANIQUE de Loïc Le Ribault à usages interne et externe



LE SILICIUM ORGANIQUE

PRESENTATION

Deux types de silicium existent dans la nature : le silicium minéral et le silicium organique.

Le SILICIUM MINERAL est le principal constituant de l’écorce terrestre (27,80 % en poids) après l’oxygène (46,60 %). On le trouve sous forme amorphe ou cristalline dans de nombreuses roches telles que les granites, les sables, les argiles, etc.
Dans sa forme la plus simple, il est composé d'un atome de silicium et de deux atomes d'oxygène (Si02).

Le SILICIUM ORGANIQUE (organo-silicié dans la famille duquel on trouve les silanols, silane-diols et silane-triols) se différencie du précédent par la présence d’un (ou de plusieurs) atome(s) de carbone associé(s) à de l’hydrogène. Sous cette forme, c’est un des éléments essentiels de la matière vivante, comme le prouvent les dosages effectués aussi bien chez les plantes et les animaux que chez l’homme. Dans le corps de ce dernier, on en trouve notamment une quantité importante dans les tissus, les cartilages, le thymus, les parois vasculaires, les surrénales, le foie, la rate, le pancréas, etc.

Le « CAPITAL SILICIUM ORGANIQUE »

L'être humain naît avec un « capital » de silicium organique qui va jouer un rôle fondamental dans la constitution, l'équilibre et la défense de son organisme.
Mais ce « capital » diminue inexorablement avec le vieillissement : on considère que l'homme perd graduellement 80 % de celui-ci entre la maturité sexuelle et la fin de sa vie, ce qui provoque l'affaiblissement de son système immunitaire et la dégénérescence de ses cellules. Ce phénomène est irréversible, car l'être humain est incapable de transformer le silicium minéral qu'il ingère (aliments, boissons) en silicium organique, et le silicium minéral (sous quelque forme qu'il soit, y compris la silice colloïdale) n'est pas assimilable ; il peut même être toxique à haute dose.
Jusqu'alors, il n'existait donc aucune possibilité de recharger l'organisme en silicium organique.

LE TRAVAIL MYSTERIEUX DES MICRO-ORGANISMES

Contrairement à l'Homme, de nombreux micro-organismes et plantes (Diatomées, Radiolaires, champignons, etc.) sont capables, par des processus non (ou mal) expliqués à ce jour, d’effectuer la transformation du silicium minéral en silicium organique et d’assimiler ce dernier qu’ils fabriquent à partir du silicum minéral hydraté originel pour s'en nourrir.
Mais l'homme n'a pas cette capacité...

LE « G5 »


Norbert Duffaut, chimiste organicien à l'université de Bordeaux, fut le premier à réussir la synthèse d'un silicium organique en 1957. Baptisé « D.N.R. », celui-ci fut utilisé sous diverses formes par de nombreux médecins dès 1958, et son efficacité prouvée dans le traitement des maladies les plus diverses.
Loïc Le Ribault, un des premiers utilisateurs du microscope électronique à balayage (M.E.B.), découvrit fortuitement les capacités thérapeutiques du silicium organique naturel en 1975, et, en collaboration avec des médecins, utilisa celui-ci dans le traitement d'affections variées jusqu'en 1982.
En 1982, Duffaut et Le Ribault se rencontrèrent. Ils travaillèrent ensemble à la mise au point de nouvelles molécules de silicium organique à usage thérapeutique jusqu'en 1993, date du décès de Duffaut.
Jusqu’alors, pour que les organo-siliciés soient actifs, on devait leur adjoindre de faibles quantités de produits utilisés en allopathie ou homéopathie, produits qui étaient choisis de façon spécifique selon les affections à traiter. En outre, ils ne pouvaient être utilisés que par applications cutanées (compresses, tamponnements, ionocinèse, etc).
En 1994, Le Ribault met au point une nouvelle molécule, testée depuis 1991, pouvant être utilisée sans rajoût de complément médicamenteux quelconque dans le traitement de la plupart des affections. Autre nouveauté importante : sous forme liquide, ce silicium organique (baptisé « G5 »), qui ne présente aucune toxicité, devient désormais buvable. Mais il  peut  aussi être utilisé sous forme liquide ou de gel pour des applications cutanées.
Le Ribault découvrit également que le silicium organique était d'autant plus efficace que la solution était pure (autrement dit ne contenait que du silicium), et définit la concentration idéale en silicium du produit. Celle-ci, très faible, ne doit pas excéder 0,2 % de solution siliciée diluée dans l'eau.


FICHE TECHNIQUE DU G5

                                                               Famille : Organo-silicié (ou silicium organique)
                                                               Dénomination scientifique : Monométhyl silane triol
                                                               pH : environ 6,6
                                                               Aspect : limpide et incolore, exempt de tout corps étranger
                                                               Saveur : légèrement âcre
                                                               Composition des produits prêts à emploi :
                                                                              G5 liquide : 0,2 % de solution de monométhyl silane triol
                                                                                                    eau
                                                                                                    stabilisant
                                                                              G5 gel : 0,2 % de solution de monométhyl silane triol
                                                                                                    gel végétal neutre
                                                                                                    stabilisant
                                                               Durée de conservation :
                                                                              Récipient ouvert : un an après ouverture
                                                                              Récipient non ouvert : au moins trois ans
                                                               Il n'est pas nécessaire de conserver le G5 dans un réfrigérateur

                                                              
LES PROPRIETES DU G5

Après utilisation par plusieurs centaines de milliers de patients, on peut aujourd’hui résumer ainsi les principales caractéristiques du G5 :

- Son efficacité est prouvée par des tests officiels <!--[if !supportFootnotes]-->[2]<!--[endif]--> et de multiples témoignages de médecins et de patients, étayés par des documents de tous ordres (analyses de sang, radios, photographies, etc.) ;

- Il est assimilable par l’organisme humain et par celui des animaux et des végétaux. De nombreuses applications vétérinaires ont été réalisées sur du bétail (chevaux, vaches, porcs), des volailles (poules et canards), des poissons d'aquarium, des chiens et des chats.

- Il ne présente aucune toxicité <!--[if !supportFootnotes]-->[3]<!--[endif]--> ;

- Il joue un rôle important dans la restructuration des fibres d’élastine et de collagène, dans les stades précoces de la minéralisation osseuse et dans le métabolisme général de l’organisme ;

- Il possède la propriété de traverser le derme et l’épiderme pour diffuser ensuite dans l’ensemble de l’organisme, et en particulier dans les organes ou parties du corps souffrant d’agressions diverses ou de dysfonctionnement ;

- Il est compatible avec toute thérapie à laquelle sont éventuellement soumis les patients avant ou pendant son utilisation ;

- C’est un anti-inflammatoire ;

- Il accélère les processus de cicatrisation ;

- Il renforce les défenses immunitaires de l’organisme ;

- Il dynamise, protège et régénère l'ensemble des cellules du corps ;

- Il ne provoque aucun effet secondaire, même après utilisation durant plusieurs années consécutives ;

- C’est un « anti-douleur  », dont l’action est souvent perceptible au bout de quelques  minutes  seulement. Contre les piqûres de méduses, les coupures, les brûlures et les coups de soleil, notamment, son efficacité est telle qu’il a gagné dans les Caraïbes le surnom de « Pain Killer » (le « Tueur de douleurs »).

- Le G5 peut être utilisé par les enfants en bas âge et les femmes enceintes.
                                                                      
COMMENT UNE MOLECULE UNIQUE
PEUT-ELLE AVOIR UN CHAMP D'ACTION AUSSI LARGE ?

Il est impossible de donner une réponse précise. On ne peut qu'émettre une hypothèse, compte tenu du fait que des études scientifiques prouvent que tout désordre de l’organisme provient au moins en partie d’un déséquilibre électrique cellulaire : on sait qu'une cellule en bonne état est électriquement parfaitement équilibrée, avec son pôle négatif exactement aligné avec son pôle positif. Par contre, une cellule déficiente (suite à une agression, à une maladie, à la vieillesse, etc.) présente des pôles déséquilibrés, qui ne sont donc plus alignés.
Or le G5 est chargé à l’extrême en ions positifs et négatifs instables, qui ne cessent de « tourner » autour de chacune de ses molécules.
Le G5 pourrait donc intervenir dans l’organisme pour rétablir la polarité des cellules déficientes, libérant (ou échangeant) selon les cas des ions positifs ou négatifs. Il serait en quelque sorte un rééquilibrant ionique de l’ensemble de l’organisme, dont l’action donnerait ou contribuerait à donner aux cellules de celui-ci l’énergie nécessaire pour lutter contre tous les types d’agressions dont il est victime.
C'est sans doute ce qui explique la sensation de chaleur, ou de froid, ou de picotements électriques, que les patients ressentent circuler dans leur corps, parfois quelques minutes seulement après absorption ou aplication de G5.
C'est, en tout cas, la seule explication possible en l'état actuel de nos connaissances.
Mais, après tout, voilà près de cent ans qu’on essaie de comprendre - en vain - comment agit l’aspirine...

Le G5 n'est donc pas un médicament au sens classique du terme, mais un renforçateur des défenses naturelles de l'organisme. C'est ce qui expliquerait les résultats obtenus grâce à lui dans le traitement des affections les plus variées

MODES D’UTILISATION


(Les annotations « >Cf. témoignage(s) n° » renvoient aux documents figurant en annexe 2)
          

Le G5 est présenté sous deux formes : liquide et gel.
Le GEL est utilisé uniquement en applications externes.
Le LIQUIDE peut être utilisé, selon les besoins, par voie orale et en applications externes par pulvérisations, compresses, compresses étanches, dans les yeux, les oreilles, par micro lavements vaginaux et anaux<!--[if !supportFootnotes]-->[4]<!--[endif]-->.
                

1.- VOIE ORALE (G5 liquide)

L’approche est différente selon que les utilisateurs sont « bien portants » (ou supposés tels) ou au contraire souffrent d’affections déclarées ou de séquelles de celles-ci.

Dans le premier cas, nous conseillons une cure simple destinée à une « remise en forme »  générale ; dans le second, celle-ci s’inscrit dans le cadre d’un véritable traitement, qui doit de préférence être effectué en collaboration avec un médecin.
1.1.- LA CURE

Nous avons vu que le « capital silicium organique » diminue de façon inéluctable avec le temps.
Toute affection ou déficience de l'organisme peut donc être combattue avec un apport de silicium organique, et seul le G5 peut jouer ce rôle. Une ingestion ou une application locale de G5 résoudra donc le problème, apportera un soulagement ou une guérison, mais la décroissance du stock de silicium organique se poursuivra après cet appport ponctuel.
L'idéal est donc de suivre des cures régulières de G5, qui rechargeront constamment l'organisme en silicium organique, permettant de maintenir constamment un meilleur état général et une défense de l'organisme plus efficace contre toute agression.

La cure consiste en l’absorption quotidienne de G5 pendant un mois.
La quantité moyenne est comprise entre une et trois cuillère(s) à soupe par jour, selon les besoins.
Nous préconisons de commencer par une cuillère quodienne, et de voir au bout d'une semaine si des résultats bénéfiques se font sentir au point de vue de l'état général.
Si ce n'est pas le cas, il convient d'augmenter la dose journalière à deux cuillères puis, si aucune amélioration ne s'est encore fait ressentir au bout d'une autre semaine, de passer à trois cuillères à soupe par jour. Dans la majorité des cas (90 %), trois cuillères à soupe permettent d'obtenir une remise en forme parfaite. Celle-ci se manifeste de multiples façons, telles que la reprise d'un sommeil et d'un appétit normaux, un meilleur équilibre nerveux, une énergie accrue, etc.
La première cuillère est absorbée de préférence le matin à jeun et les autres (midi et soir) vingt minutes au moins avant les repas. Conserver le produit dans la bouche 1 à 3 minutes avant de l'avaler.
Compte tenu de l'absence totale de toxicité du G5, les patients qui le souhaitent ou en éprouvent le besoin peuvent à leur gré largement dépasser les doses indiquées ci-dessus.
Il est important de suivre la cure sans interruption pendant un mois, même si la remise en forme paraît très satisfaisante au bout de quelques jours.
A l’issue de cette période d'un mois, on peut interrompre la cure et ne la reprendre que si on en ressent la nécessité (réapparition de la fatigue, des insomnies, perte de tonus, d’appétit, etc.).
En fait, la souplesse d’utilisation du G5 est telle que chacun est libre de l’utiliser à sa guise et selon les besoins qu’il ressent.

N.B.:
- Le G5 est compatible avec n’importe quelle thérapie éventuellement en cours. Toutefois, si celle-ci oblige le patient à absorber des médicaments classiques (allopathiques ou homéopathiques), nous conseillons, pour une meilleure efficacité du G5, de prendre celui-ci séparément (par exemple une heure avant ou une heure après l’absorption des médicaments classiques) ;

- Il arrive parfois que, quelques secondes ou quelques minutes après l’absorption de G5, on ressente des picotements ou une sensation de chaleur diffuse dans le corps ; il s’agit d’un  phénomène normal, et l’impression se dissipe au bout de quelques minutes (Cf. témoignage n° 22).

- Les picotements et/ou la chaleur sont parfois localisés dans une partie très précise du corps ; en ce cas, il convient de mémoriser la zone de l’organisme ainsi « désignée », qui correspond vraisemblablement à une affection locale quelconque, connue ou non, et d’en avertir son médecin traitant.

1.2.- LA CURE ACCOMPAGNEE D'UN TRAITEMENT

Il s’agit d’une cure identique à celle décrite précédemment, mais effectuée sous surveillance médicale avec analyses et contrôles spécifiques (analyses de sang, radios, examens cliniques, etc.).
Au bout d’un mois, le bilan à disposition du médecin permettra à celui-ci de décider si la cure est suffisante ou doit être poursuivie, les doses maintenues, diminuées ou augmentées, et si le traitement complémentaire (avec d’autres formes d’utilisation de G5 et/ou de médicaments classiques) est adapté ou doit être modifié.
Pour les affections lourdes, les doses quotidiennes sont généralement comprises entre 3 et 9 cuillères à soupe, et parfois plus.
Dans le chapitre suivant, nous donnerons quelques exemples de traitements nécessitant pour certains types d’affections l’utilisation systématique de G5 buvable.

2.- COMPRESSES ETANCHES (G5 liquide)

Imbiber de G5 un (ou plusieurs) morceau(x) de coton (ou de gaze) d’une taille correspondant à la surface du corps à traiter.
Afin d'éviter l'évaporation, recouvrir le coton ou la gaze d'une feuille de plastique alimentaire assurant une bonne adhérence et conserver pendant la journée ou durant toute la nuit.

N.B.:
- Souvent, on ressent une impression de légers picotements (généralement qualifiés d' « électriques »), de chaleur (Cf. témoignages n° 41, 89) ou au contraire de froid, qui diffuse dans l’organisme. Ce phénomène est normal. Mais il arrive aussi qu’aucune sensation ne soit perceptible (ce qui ne signifie nullement que le G5 n’agisse pas !).

- Les compresses provoquent parfois l’apparition de démangeaisons ou de rougeurs.
Si celles-ci sont localisées exactement à l’emplacement du plastique, il s'agit d'une allergie à celui-ci et il convient de changer de marque.
Si elles apparaissent sur toute la surface de la peau en contact avec les compresses, il s’agit  dans la plupart des cas des conséquences du phénomène de macération. En ce cas, diminuer le temps d’application des compresses ou essayer les massages.

- Rougeurs et/ou démangeaisons peuvent être accompagnées d’une sensation nette de chaleur interne très localisée, voire de douleur ou d’une élévation de température ; c’est généralement le signe que le G5 a déjà produit son effet (parfois après une seule application) (Cf. témoignages n° 26 et 63). En ce cas, il convient d’arrêter les compresses et d’observer l’évolution de l’affection durant quelques jours (consultations médicales, analyses de sang, etc.).

3.- COMPRESSES (G5 liquide)

Imbiber de G5 un (ou plusieurs) morceau(x) de coton (ou de gaze) d’une taille correspondant à  la surface à traiter, puis appliquer sur la peau.
Souvent, on ressent une impression de légers picotements (généralement qualifiés d' « électriques »), de chaleur (Cf. témoignages n° 41 et 94) ou au contraire de froid, qui diffuse dans l’organisme. Il est également fréquent que la sensation de froid soit suivie d'une sensation de chaleur, ou l'inverse. Ce phénomène est normal.
Mais il arrive aussi qu’aucune sensation ne soit perceptible (ce qui ne signifie nullement que le G5 n’agisse pas !).
Au bout de 20 minutes environ, enlever le cataplasme et laisser la peau sécher à l’air libre.
L’opération peut être renouvelée aussi souvent que nécessaire si la gêne ou la douleur persiste.


4.- TAMPONNEMENTS (G5 liquide)

Imbiber de G5 un morceau de coton et en tamponner pendant 5 à 10 minutes la surface à traiter.


5.- VAPORISATION (G5 liquide)

Remplir de G5 un vaporisateur n'ayant jamais servi, du type de ceux qu’on trouve en pharmacie.
Vaporiser ensuite toute la surface à traiter.
Laisser sécher à l'air libre ou masser légèrement (avec des mains propres !) jusqu'à pénétration complète du produit.
Renouveler l'opération aussi souvent que nécessaire.

N.B. : Ne JAMAIS réutiliser un vaporisateur ayant contenu un autre produit ! Utiliser TOUJOURS un vaporisateur neuf, exclusivement réservé à l’emploi du G5 !

6.- MASSAGES (G5 gel)

Etaler une mince couche de gel sur la peau, puis attendre quelques minutes sans y toucher.
Masser ensuite légèrement jusqu’à pénétration complète du produit.
L’opération peut être renouvelée aussi souvent que nécessaire.
Si des rougeurs ou des démangeaisons se manifestent, arrêter le traitement.

N.B. : Pendant une demi-heure après chaque application de gel, éviter de mettre la surface de peau traitée en contact avec des produits corrosifs ou toxiques (ex. : liquides ou poudres à laver, insecticides, etc.).


EXEMPLES DE TRAITEMENTS

(Les annotations « > Cf. témoignage(s) n° » renvoient aux documents figurant en annexe 2)

ETAT GENERAL

FATIGUE, NERVOSITE, MANQUE D'APPETIT, INSOMNIE, etc. : CURE

> Cf. témoignages n° 4, 5, 19, 21, 22, 23, 44, 45, 56, 58, 64, 77, 84, 97

ARTICULATIONS

DOULEURS ARTICULAIRES, ARTHRITE, ARTHROSE, RHUMATISMES, etc. : CURE + cataplasmes ou tamponnements ou vaporisations ou massages sur les articulations douloureuses aussi souvent que nécessaire.

> Cf. témoignages n° 2, 3, 4, 5, 6, 7, 8, 9, 10, 21, 28, 38, 39, 41, 43, 46, 51, 53, 55, 59, 60, 62, 63, 79, 83, 84, 86, 87, 92, 95, 96

DUPUYTREN ( maladie  de ) : CURE + compresses ou cataplasmes ou vaporisation sou massages jusqu’à l'apparition d’une amélioration (meilleure souplesse, redressement des articulations, etc.). Renouveler l'opération aussi souvent que nécessaire. Si possible, faire une radio avant le début du traitement et une autre en fin de cure.

> Cf. témoignage n° 20

O.R.L.

SINUSITE : Cataplasmes ou tamponnements ou massages 3 à 4 fois par jour, accompagnés d'instillations. Pour cela, placer quelques gouttes de G5 dans le creux de la main (propre !) et les respirer, puis garder la tête renversée durant quelques minutes.

> Cf. témoignages n° 32, 33, 39, 50

PROBLEMES CUTANES

ACNE : Tamponnements ou vaporisations ou massages trois fois par jour.

> Cf. témoignage n° 1

ECZEMA : CURE + tamponnements ou cataplasmes ou vaporisations ou massages 2 à 4 fois par jour sur les zones à traiter.

> Cf. témoignage n° 50

PSORIASIS : CURE + tamponnements ou cataplasmes ou vaporisations ou massages 2 à 4 fois par jour sur les zones à traiter.

> Cf. témoignages n° 29, 30, 31, 42, 57, 74, 91

VITILIGO : CURE + tamponnements ou cataplasmes ou vaporisations ou massages 2 à 4 fois par jour sur les zones à traiter.

> Cf. témoignage n° 23

ZONA : CURE + tamponnements ou cataplasmes ou vaporisations ou massages 2 à 4 fois par jour sur les zones à traiter.

> Cf. témoignages n° 28, 34, 57, 60

PROBLEMES OCULAIRES

3 à 4 gouttes de G5 dans l’oeil 3 fois par jour.
Pour éviter une légère sensation de brûlure (qui s’estompe en quelques secondes), il est possible de diluer le produit avant application (2 à 3 volumes d’eau pour 1 volume de G5).

SYSTEME CARDIO-VASCULAIRE

CARDIO-VASCULAIRES (Problèmes) : CURE, puis examens médicaux pour contrôle des résultats et adaptation éventuelle du traitement.

> Cf. témoignages n° 3, 18, 21, 26, 56, 73, 82

CEPHALEES (migraines, maux de tête) : CURE + cataplasmes ou massages au niveau de la zone douloureuse.

> Cf. témoignages n° 4, 5, 10, 15, 46

CHOLESTEROL : CURE, puis analyses de sang pour contrôle des résultats et adaptation éventuelle du traitement.

> Cf. témoignage n° 10

HYPER-TENSION ou HYPO-TENSION : CURE + contrôle régulier de la tension pendant la durée de la cure.

> Cf. témoignage n° 10

SYSTEME DIGESTIF

DIGESTIFS et INTESTINAUX (problèmes divers) : CURE

> Cf. témoignages n° 5, 9, 10, 18, 52
                              
HEPATITES : CURE puis analyses de sang pour contrôle des résultats et adaptation éventuelle du traitement. L’absorption de G5 peut être accompagnée d’application de compresses au niveau du foie.
                       N.B. : Il arrive parfois que, juste après la première ou une des premières absorptions de G5, les patients ressentent une douleur plus ou moins vive (qui disparaît en quelques minutes) dans la région du foie. Ne pas s'inquiéter : ce symptôme est généralement le signe que le G5 a déjà agi ; pour s’en assurer il convient de faire effectuer une prise de sang le plus rapidement possible.
                       Dans l’attente des résultats, trois cas peuvent se produire :
                               - Si après l’absorption suivante la même douleur réapparaît, arrêter le traitement.
                               - Si la douleur se manifeste à nouveau, mais de façon moins violente, diminuer la dose de G5 quotidienne.
                               - Si la douleur ne se manifeste plus, continuer la cure en maintenant la dose quotidienne initiale.
 
                       En cas d’application de compresses, surveiller une augmentation éventuelle de la température (> Cf. témoignage n° 26). Si un tel phénomène se produit, arrêter les applications.

> Cf. témoignages n° 25, 26, 27, 45, 49, 54, 58, 61, 67

CIRRHOSE : Même traitement que pour les hépatites.

CROHN (maladie de) : CURE, puis analyses de sang pour contrôle des résultats obtenus et adaptation éventuelle du traitement.

> Cf. témoignage n° 17

SYSTEME HORMONAL

DIABETE : CURE, puis analyses de sang pour contrôle des résultats obtenus et adaptation éventuelle du traitement.

> Cf. témoignages n° 77, 81, 93

SYSTEME IMMUNITAIRE


ALLERGIES diverses : CURE + cataplasmes ou tamponnements ou vaporisations ou massages 3 à 4 fois par jour au niveau de la saignée des bras et sur les parties à traiter.

> Cf. témoignages n° 70, 102

HERPES : CURE + tamponnements ou cataplasmes ou vaporisations ou massages  2 à 4 fois par  jour sur les zones à traiter.

> Cf. témoignages n° 3, 9, 10 , 28, 65, 66, 70

SYSTEME NERVEUX

DEPRESSION : CURE

> Cf. témoignages n° 5, 24

SCLEROSE EN PLAQUE : CURE

> Cf. témoignage n° 101

SYSTEME RESPIRATOIRE


ASTHME : CURE + cataplasmes ou tamponnements ou vaporisations ou massages 3 à 4 fois par jour au niveau de la saignée des bras.

> Cf. témoignages n° 11, 12, 64, 70

RESPIRATOIRES  ( problèmes ) : CURE + cataplasmes ou tamponnements ou vaporisations ou massages 3 à 4 fois par jour au niveau de la poitrine.

> Cf. témoignage n° 68

TRAUMATISMES


BRÛLURES :

Superficielles : Cataplasmes ou tamponnements ou vaporisations ou massages.
Profondes : Vaporisations.

> Cf. témoignages n° 13, 14, 38, 40

SOLEIL (coups de) : Voir « brûlures ».

> Cf. témoignage n° 36

COUPURES : Vaporisations. Pas de massages !

> Cf. témoignages n° 36, 46, 69, 93, 94

ENTORSES : Compresses ou cataplasmes ou vaporisations ou massages.

HEMATOMES : Compresses ou cataplasmes ou vaporisations ou massages.

> Cf. témoignages n° 43, 59

MUSCULAIRES (déchirures, douleurs) : Compresses ou cataplasmes ou vaporisations ou massages.

> Cf. témoignages n° 5, 21, 37, 42, 95

PIQURES d’animaux (insectes, méduses, poissons, etc.) ou IRRITATIONS dues à des plantes et végétaux divers (orties, etc.) : Cataplasmes ou tamponnements ou vaporisations ou massages. La douleur et/ou l’enflure doivent disparaître en quelques minutes.
                       N.B. : NE PAS UTILISER le G5 en cas de piqûre ou de morsure d’animaux venimeux tels que les serpents, nécessitant l’injection d’un sérum spécifique.

TENDINITE : Compresses ou cataplasmes ou vaporisations ou massages.

> Cf. témoignages n° 35, 52, 85, 94


NB. : CETTE LISTE N’EST PAS LIMITATIVE. N’hésitez pas à nous écrire pour tout renseignement complémentaire éventuel.

<!--[if !supportFootnotes]-->

<!--[endif]-->
<!--[if !supportFootnotes]-->[1]<!--[endif]-->Pour plus de détail, voir « annexe n° 1 »
<!--[if !supportFootnotes]-->[2]<!--[endif]-->  Tests officiels réalisés selon les normes américaines (37 CFR § 1, 132) par le professeur Jean Cahn, directeur de l'Institut Sir International, professeur de pharmacologie et de neurobiologie à la faculté des Sciences et à la faculté de Médecine de Pavie (Italie)
<!--[if !supportFootnotes]-->[3]<!--[endif]-->Tests officiels réalisés par le laboratoire Evic Ceba en 1995 et 2004, en conformité avec la Directive européenne 86/609/CEE du 24 novembre 1986, et par l'Agence Française du Médicament (ministère français de la Santé) en décembre 1995
<!--[if !supportFootnotes]-->[4]<!--[endif]-->Pulvérisateur, flacon compte-gouttes, mini poire à lavement, doivent être vierges de toute utilisation antérieure. Les compresses ne doivent pas être réutilisées (risques de macération).

Quelle est la différence entre le G5 original et le G5 Siliplant ?

En principe il n'y a aucune différence, les résultats sont les mêmes!

Nous seuls disposons actuellement des formules originale et Siliplant du G5 de Loïc Le Ribault, et sommes seuls producteurs du produit .

L’ingrédient « faisant la différence » quand à l’assimilation (la clef de l’efficacité du produit), sera présent aussi dans nos produits, à savoir un silicium monomérique et organique dans les deux références, seule l’origine de la silice (le composant dont elle est extraite) changera entre G5 original et G5 Siliplant, la base pour les deux sera silicium minéral naturel (silicates) pour l’un, et du silicium végétal pour l’autre, base qui subira par la suite le procédé de transformation. Malgré le fait de ne pas voir figurer le terme « monomethylsilanetriol » sur le produit G5 Siliplant, il a été développée par mr Le Ribault et c'était à la base prévu pour être la version « bio » et sans conservateurs du G5 original.

Le principe actif sera de 95%, le même entre les deux références, sauf que nous possédons de plus une étude clinique de 2011 quand à l’efficacité du G5 Siliplant.

Le changement pour la formule originale, désormais vendue comme lotion en Europe, à été uniquement motivée par les changements légaux quand à cette formulation, bien que ce produit est bien le G5 authentique de Loïc Le Ribault avec les résultats connus de tous, une assimilation optimale du G5 qui à été vendu pendant des années comme complément alimentaire, et demeure ainsi en dehors de l’Union Européenne ou il est toujours vendu comme consommable par voie orale.

Question posé par l'un de nos clients: Pourquoi le G5 original doit contenir un agent conservateur alors que le G5 Siliplant n'en a plus besoin?

Il s’agit globalement d’un “contrat éthique” par rapport à la volonté de Mr Le Ribault, et d’un argument pour le client : ce dernier souhaitait que la formule Originale demeure sans conservateur pour plus de praticité à l’heure d’éviter la contamination alimentaire une fois le produit ouvert depuis longtemps (surtout dans l’intérêt des personnes âgées) et le produit contient donc une faible dose de benzoate de sodium.

Au niveau des clients, de nombreuses pétitions depuis la création du produit sont toujours allées dans le sens de la non-modification du produit, surtout de par tous les déboires qu’à pu vivre Loïc, ces gens-là ne veulent pas entendre parler d’une quelconque modification du produit (par peur d’être lésés quand à l’efficacité), ne jurent que par la formule monomethylsilanetriol, et restent très vigilants à l’heure de constater la composition exacte du produit.

C’est pour ces fidèles clients que nous maintiendrons la formule originale telle quelle, même si nous aurons davantage tendance désormais à privilégier le G5 Siliplant, car aussi efficace mais sans conservateur.

Pour plus de renseignements sur la nouvelle formule Silicium G5 Siliplant, n’hésitez pas à lire notre article un peu plus bas Silicium G5 : nouvelle réglementation