Loïc Le Ribault, l’incroyable chercheur oublié

Savez-vous que Loïc Le Ribault pouvait faire parler les os? Avec uniquement le crâne d’un individu assassiné, il a pu trouver des informations précises sur la victime et l’homicide alors que les investigations de la police scientifique française conduites depuis de nombreuses années n’avaient menées à aucun résultat. 

Ainsi, Loïc Le Ribault a réussi à déterminer les éléments suivants: la manière dont la victime a été tuée, son âge, sa profession, son lieu de résidence, l’arme du crime et le lieu précis du meurtre.

Loïc Le Ribault effectue ses études à Paris où il obtient de multiples diplômes : licence ès Lettres, certificats d’Océanographie, maitrise de Géographie Physique, doctorat en Sédimentologie et un doctorat ès Sciences. Ses découvertes prestigieuses lui permettent d’obtenir également les grades d’expert agrée en microanalyse auprès de la cour d’Appel de Bordeaux et la Cour de Cassation de Paris.

Premiers accomplissements

Loïc Le Ribault commence à révolutionner le monde scientifique mondial en mettant en place une méthode unique, l’exoscopie des quartz, qui permet de déterminer la provenance des grains de sables à partir de l’étude de leur surface au microscope électronique à balayage. 

Pour appliquer cette méthode, il crée le CARME (Centre d’Application de la Recherche en Microscopie Electronique) qui devient le premier laboratoire au monde spécialisé en microanalyse. Le laboratoire devient célèbre en résolvant des problèmes complexes dans différents domaines tels que la biologie, la recherche médicale, les œuvres d’art  et bien d’autres. Par exemple, dans le domaine des arts, il effectue des expertises sur une peinture de Van Gogh.

Le FBI et la police scientifique française

Très vite, les travaux de Loïc Le Ribault suscitent l’intérêt du FBI qui intrigué, décide de le tester en lui envoyant 3 échantillons. Loïc réussit à déterminer leur origine: le 1er provenait de cendres du Mont Saint Hélène, le 2e des alluvions de rivière d’un Delta de Caroline du Sud et le 3e de quelques poutres des baraquements de l’unité des Marines à Beyrouth. 

Ce test réussit lui vaut d’être sollicité pour former les agents du FBI. Il est ensuite embauché pour résoudre l’assassinat d’un agent de la DEA, Enrique Camarena, qui est retrouvé mort alors qu’il était en infiltration dans un important réseau de trafiquants de drogues au Mexique. 

Le cadavre de l’agent présente des traces prouvant que le décès remonte à plusieurs semaines et qu’il a été déterré puis déplacé. Grâce à des échantillons de sable prélevés sur le cadavre, Loïc Le Ribault réussit à déterminer l’endroit précis où le corps de l’agent a été inhumé la première fois. De retour en France, Loïc Le Ribault commence à travailler comme expert agrée en microanalyse auprès de la Cour de Cassation de Paris et permet la résolution de nombreux crimes non élucidés.

L’ultime grande découverte: le Silcium G5

Expert en silicium, dans les années 80, Loïc découvre par hasard les vertus thérapeutiques extraordinaires de cet élément sous sa forme organique. En effet, le silicium est indispensable à la fabrication decollagène et d’élastine qui favorise la résistance osseuse, la flexibilité des articulations, le maintien des muscles et de l’épiderme en parfait état. 

Le silicium a donc de réelles vertus anti-âge et sur le bien-être de l’organisme en général. Il met au point la formule de silicium G5 qui connait un succès immédiat auprès de nombreux professionnels de la santé dès sa mise en vente sur le marché. 

Depuis 2005, l’entreprise SiliciumEspagne Laboratoires dispose du droit exclusif d’utilisation des brevets et marques associées à Loïc Le Ribault. Le groupe est également le seul à détenir la formule du silicium G5 établie par Loïc Le Ribault.